Travail sur soi et ses émotions : 4 bienfaits pour toi et tes enfants
Travail sur soi et ses emotions

Faire un travail sur soi a toujours été quelque chose d’important pour moi. Mais cet intérêt ne signifie pas que j’ai toujours été douée pour ça… A une certaine époque, j’ai lu quantité de livres sur le développement personnel et la spiritualité, mais quand venait le moment de se mettre en action dans la « vraie vie »… je bloquais.

C’est finalement en 2008 que j’ai commencé réellement à comprendre ce que voulait dire se reconnecter à soi. En 2014, quand je suis tombée enceinte de Petit Panda je me suis promis de continuer ce travail sur moi, à tout prix. Car quand on devient parent, les émotions liées à notre passé ont tendance à nous rattraper, les bonnes comme les mauvaises.

Bien que nos enfants nous fassent vivre un immense bonheur – de ceux qu’on ne pouvait imaginer avant d’être parent, – élever un enfant est aussi un chemin chaotique. Dans les moments inévitables de tension et d’incertitudes, nos pires émotions peuvent refaire surface et on peut mal (voire très mal) réagir.

Dans son livre « Elever son enfant autrement », Catherine Dumonteil-Kremer écrit que le travail sur soi est l’indissociable allié de l’éducation bienveillante.

Avant tout, les enfants apprennent en observant. Ils s’imprègnent de tout ce qui est autour d’eux, en particulier de nos comportements de parents, ainsi que des messages corporels inconscients que nous véhiculons.

Cela inclut des choses comme : le ton tendu avec lequel nous parlons à notre partenaire, notre énervement face au bazar à la maison, notre impatience lors de la mise en route du matin et notre déception (cachée derrière un sourire de façade) face à la mauvaise note de notre enfant.

Notre air dépité face à notre reflet dans le miroir ou les critiques acerbes que nous nous adressons à nous-mêmes, en font aussi partie.

Bon, je te parle de tout ça, mais ce n’est pas pour te mettre la pression. Au contraire ! Tout ce qu’on fait peut tout autant influencer nos enfants de manière profondément positive ! 😊 Et cet impact positif est plus lié à la manière dont nous « grandissons » en tant que personne plutôt qu’à la façon dont nous excellons en tant que parents.

Voici 4 pistes pour amorcer un travail sur soi qui peuvent profiter à nos enfants. 😉

1 / Bienfaits du travail sur soi : comment apprivoiser la gestion de nos émotions et nos sentiments ?

As tu déjà eu des réactions excessives face à ton enfant ? Nos enfants peuvent susciter en nous des sentiments auxquels nous n’étions pas préparés.

Pourquoi nos émotions et nos sentiments prennent-ils le dessus ? Voyons comment tout ça fonctionne 😉

Les émotions

Beaucoup de gens utilisent indifféremment les mots « émotions » et « sentiments » pour signifier la même chose. Cependant, ceux sont deux choses bien distinctes.

Une émotion est une réponse physiologique à une stimulation. Elle est instinctive, programmée dans nos gènes et elle fait partie de notre équipement de survie. C’est une réaction automatique et brève, qui ne dure que quelques minutes.

Par exemple: tu es seul et à pied dans la savane sauvage, tu vois un lion et tu as immédiatement peur. Ton corps se crispe, ton coeur palpite, tu as des sueurs froides dans le dos.

Il n’y a pas de liste d’émotions reconnues universellement, mais aujourd’hui la plupart des littératures sur la psychologie citent 4 émotions de bases :

  • la joie,
  • la peur,
  • la tristesse,
  • la colère.

Même les émotions négatives sont là pour nous servir !

Si tu as plutôt tendance à te sentir en colère avec ton enfant, ne culpabilise pas, ce n’est pas une fatalité ! Nous pouvons y travailler (on va voir comment, plus bas).

De plus, sais-tu que chacune des émotions a une utilité ?

La colère (émotion), par exemple, nous aide à fixer des limites pour nous séparer des situations qui causent tristesse ou problèmes .Elle nous permet d’ identifier celles qui pourraient nous nuire et contribue à défendre nos besoins.

Les sentiments

Un sentiment, en revanche, se joue dans notre tête. 😉 C’est une interprétation personnelle et une combinaison d’éléments émotifs et imaginaires, plus ou moins clairs. C’est une association mentale qui se forme à la lumière de nos propres vécus et expériences.

L’exemple le plus facile à comprendre est celui du verre moitié plein ou moitié vide. Face à la même situation, mon regard et mes ressentis peuvent être complètement différents des tiens.

« Un sentiment peut s’étayer sur une émotion vécue ou se constituer à partir d’un mélange d’émotions. Comme le sentiment de culpabilité qui est fait de peur et de colère tournée contre soi. » (Isabelle Filliozat)

Bien que les émotions soient généralement brèves, les sentiments qui en découlent peuvent persister (parfois très longtemps !) et grandir au cours d’une vie.

Nos sentiments ne s’imposent pas à nous

La plupart des gens croient que leur humeur et ce qu’ils ressentent sont causés par des éléments extérieurs; que leurs sentiments s’imposent à eux et qu’ils ne les choisissent pas.

La vérité, cependant, est que les sentiments sont dirigés par nos propres pensées. Notre environnement, les circonstances et les actions de personnes extérieures ne peuvent pas déclencher directement nos sentiments. Ces éléments extérieurs peuvent, en revanche, faire écho à certains de nos besoins non satisfaits: douleurs ou colères non résolues.

Par exemple, lorsque ton enfant ne t’écoute pas du tout et commence une énorme crise :

Tu seras peut-être traversé par de la colère (émotion). Ensuite, tu ressentiras une succession de sentiments comme être :

en colère, irrité, fâché, exaspéré, frustré, impatient, indigné, inconfortable, énervé, blessé, dégoûté, horrifié.

Mais, ces sentiments ne sont pas causés directement par ton enfant. Ils sont déclenchés par tes pensées qui sont des reflets de ton vécu personnel et de tes besoins non satisfaits :

  • « Comment peut-il faire ça, alors que j’essaie d’être si patiente » (besoin : appréciation, respect, empathie…)
  • « Il me pousse à bout, je suis fatiguée j’en ai marre » (besoin : repos…)
  • « Il m’énerve, il n’écoute rien ! » (besoin : coopération, respect…)

Alors comment font certains parents qui arrivent à rester calmes et emphatiques face à la colère de leurs enfants ?

Super outil de la CNV pour gérer les sentiments

L’un des puissants outils de la CNV (la Communication Non-Violente) consiste à identifier les besoins non satisfaits qui se cachent derrière nos émotions et nos sentiments. Rappelle-toi, les éléments extérieurs ne peuvent pas déclencher nos sentiments. C’est notre interprétation sur cet événement, guidée par notre propre vécu, qui nous dirige vers un sentiment. Alors en travaillant directement sur la source de nos sentiments négatifs, nous pouvons apprendre à les gérer efficacement.

Mais comment fait-on ça exactement ?

Revenons à notre exemple de la crise plus haut. Quand la colère (émotion) nous traverse, on peut d’abord la reconnaître et l’accepter pleinement en prenant une grande respiration. Rappelons-nous, une émotion est temporaire, elle ne dure pas. C’est une réaction automatique de notre cerveau, il y a sûrement un besoin non satisfait caché derrière elle. Se focaliser sur le fait que « notre enfant se comporte mal » ne ferait que se concentrer sur des sentiments négatifs, qui nous feront mal réagir. En revanche, nous pouvons prendre une respiration profonde et diriger notre pensée pour essayer d’identifier notre propre besoin non-satisfait.

Quel est le besoin non-satisfait qui menace notre subconscient ? Si on arrive à l’identifier, il nous donne d’autres possibilités de communiquer avec notre enfant.

Lorsqu’on devient conscient de ce processus, on peut petit-à-petit gérer et orienter nos sentiments.

Au début, tu n’auras peut-être pas le temps de rattraper tes propres pensées et tes sentiments te feront exploser quand même. Mais pas de panique ! Tu peux faire ce travail d’introspection une fois que tout le monde sera calmé et expliquer à ton enfant pourquoi tu as agi de cette façon.

Rappelle-toi, tu es un modèle pour tes enfants. On leur apprend que personne n’est parfait, mais qu’on peut s’améliorer. On peut montrer l’exemple à nos enfants en étant honnête avec eux, en admettant qu’on a dérapé et en présentant nos excuses.

Nommer nos sentiments, identifier leur source (nos besoins) et en assumer la responsabilité nous permettront de nous libérer de nos « fardeaux émotionnels ».

Pour en savoir plus sur la Communication Non-Violente (CNV) rdv sur cet article !

Motricite libre enfant nature-et-famille
La communication non-violente en famille : l’essentiel à connaître

2 / Meilleure connaissance de soi : comment revisiter son passé pour mieux se comprendre ?

Cycle sans fin des émotions douloureuses : miroir de notre passé

Nos enfants peuvent susciter en nous des « réactions » ou des sentiments assez intenses, qui peuvent parfois nous surprendre.

Certains de ces sentiments sont des réactions humaines fondamentales. Lorsque notre tout-petit fait une crise au magasin, nous pouvons nous sentir gênés. Lorsque notre adolescent prend des risques, nous pouvons avoir peur.

Cependant, les sentiments les plus intenses ont souvent plus à voir avec notre passé qu’avec notre présent. La peur de notre enfant peut raviver le sentiment de peur que nous avons ressenti quand nous étions enfants. Leur cri peut résonner avec notre propre détresse. Leur colère avec nos propres colères réprimées.

Depuis touts petits, on nous a appris que l’expression liée à certaines émotions (notamment la colère, la tristesse) n’était pas socialement acceptable. On a intégré qu’il fallait faire taire certains ressentis et « ravaler notre douleur ». Pourtant, si l’émotion n’est pas vécue jusqu’au bout, elle reste dans notre corps, comme une tension.

Dans son livre « Que se passe-t-il en moi », Isabelle Filliozat explique que l’émotion se déploie en 3 temps :

  1. charge,
  2. tension,
  3. décharge.

La décharge est la phase d’expression qui permet au corps de revenir à son équilibre de base.

Si on est vite gagné par de la colère lorsqu’on voit nos enfants se mettre à hurler et taper par terre, c’est sans doute parce qu’on nous a interdit d’exprimer cette émotion dans notre enfance (et on continue de se l’interdire). Lorsqu’on empêche la décharge de nos émotions, la tension liée à ces émotions réprimées reste dans notre corps, mêlée ensuite à nos sentiments et cela crée un noeud émotionnel.

Face aux émotions intenses de nos enfants, on pourrait aussi sentir un besoin de censure arriver. C’est logique, nous avons été conditionnés à ça dès la plus tendre enfance.

Mais inutile d’accuser nos parents d’avoir agi comme ils ont fait dans le passé. Ils ont fait ce qu’ils pouvaient. Ruminer sur notre passé ne fait qu’amplifier ses sentiments négatifs.

Maintenant, c’est à nous d’apprendre à identifier et à accepter nos émotions et nos sentiments ; se reconnecter à notre enfant intérieur pour travailler sur soi, sur ses propres besoins.

Le schéma familial : faire le tri de son passé

Nous sommes faits de notre histoire familiale et de notre enfance. Ce sont nos bases et nos références quoiqu’on en dise.

Certains parents approuvent totalement l’éducation qu’ils ont reçue et la reproduisent dans leur foyer, sans la questionner ou la remettre en question. Parfois, le résultat leur convient, mais parfois, ils sentent confusément que quelque chose ne va pas.

Voici ce que dit à ce sujet, Isabelle Filliozat : « Les parents peuvent comprendre leurs enfants et avoir une attitude juste envers eux pour autant qu’il […] ne soient pas enfermés dans des schémas rigides issus de l’éducation qu’ils ont reçus, ou ne restent encore trop blessés par leur propre histoire. » – Filliozat

Faire un travail sur soi permet de faire une introspection de revisiter son histoire personnelle et familiale et de se poser des questions sur l’éducation qu’on souhaite donner à son enfant :

  • Est-elle à notre image ?
  • Correspond-elle aux valeurs et aux idéaux qu’on veut transmettre ?
  • Nous sentons-nous à 100% à l’aise avec elle ?

Prendre du recul sur son passé ouvre la possibilité de réaliser que certaines choses nous appartiennent. et d’autres ne correspondent pas du tout. On peut alors « faire le tri » : on garde certaines façons de faire, on maintient certains modes éducatifs légués par nos parents et on en écarte d’autres.

3/Travailler sa confiance en soi et son estime personnelle

Il y a des choses qui nous font du mal. Nous les accumulons au cours de notre vie, de notre enfance jusqu’à notre vie d’adulte et les traînons commes des fardeaux : mauvaise image de soi, croyances limitantes, valeurs qui ne nous correspondent plus. Il nous arrive de reproduire inconsciemment des actes et attitudes qu’on a vues dans notre famille et qui ont un impact négatif sur soi. Et à leur tour nos enfants imitent nos attitudes et façons de faire…

Alors s’il y a des choses que nous voulions améliorer dans notre relation parent-enfant (il y a toujours des choses à améliorer hein😉) ou si certaines attitudes de nos enfant nous déplaisent, la première chose que nous pouvons faire est de se focaliser sur ce que nous pouvons améliorer en nous. (Attention, cela ne veut pas dire les laisser faire tout ce qu’ils veulent en attendant 😜😝)

« Ne craignez pas que vos enfants ne vous écoutent jamais; souciez-vous plutôt du fait qu’ils sont toujours en train de vous observer » – Robert Fulghum

Travailler sur soi permet de prendre conscience de ces automatismes négatifs qui agissent dans notre subconscient. Reconnaître et accepter ses émotions, ses sentiments et ses besoins renforce la confiance en soi et nourrit l’estime de soi. Nous pouvons retrouver paix et calme intérieur, car nous sommes en harmonie avec nos ressentis profonds. Nous ne faisons pas entrave au mouvement naturel et spontané qui se produit en nous.

Encore une fois, l’impact positif est plus lié à la manière dont nous « grandissons » en tant que personnes plutôt qu’à la façon dont nous excellons en tant que parents.

Si nous avons du mal à nous libérer de ses carcans ou des douleurs familiales héritées, il y a plusieurs pistes pour aider faire ce travail : on peut suivre une thérapie avec un psychologue ou thérapeute, faire de l’hypnose ou assister à un séminaire de « constellations familiales », par exemple. Et pourquoi pas de l’art ou une thérapie via la musique pour se guérir et s’exprimer via la créativité ?

4/Trouver un équilibre

Quelle est ta vision de vie ?
Comment rêvons-nous notre vie idéale au quotidien ? Est-elle remplie de fluidité, de joie ou d’énergie et de projets ? Quel rythme voulons-nous avoir, que privilégions-nous ? Quels sont les obstacles, aujourd’hui, pour y arriver ? Quels moyens pouvons-nous mettre en place pour nous en rapprocher ?

En devenant pleinement responsables de nos choix et de nos actions, on reprend sa vie en main et on la crée à notre image.

J’aime comparer cela à un travail d’un jardinier en permaculture. En permaculture, il n’y a pas de « bonnes plantes » et de « mauvaises herbes ». On ne défriche pas le terrain, on n’arrache pas les « mauvaises herbes », mais on les raccourcit pour qu’elles ne deviennent pas envahissantes. Coupées et répandues à même le sol, elles nourrissent la terre, leurs racines continuent à aérer la terre ; elles contribuent à l’équilibre des micro-organismes du sol.

Tout est dans l’équilibre de la nature.

C’est comme avec certaines émotions, même celles qui sont ressenties comme étant négatives ou désagréables : elles ont une fonction vitale pour nous aider. Par contre lorsqu’on essaye de les ignorer, on ne s’en occupe pas, elle peuvent grandir et nous envahir comme de « mauvaises herbes » qui envahissent et affaiblissent notre récolte.

Même des événements douloureux du passé peuvent devenir un cadeau dans la vie, si on les utilise intelligemment. On peut se servir de notre douleur pour faire un vrai travail d’introspection, en faire notre force.

Tout est dans notre regard. Est-ce qu’on les voit comme de mauvaises herbes dont on doit se débarrasser ou comme des éléments qu’on peut utiliser pour renforcer notre expérience de vie ?

Faire des choix de vie

Faire un inventaire de notre vie, avoir une vision globale, accepter ce que nous AVONS… ensuite, faire des choix conscients, utiliser notre expérience du passé, avancer…

On peut commencer de manière toute simple, en prenant un carnet pour marquer ce qui fonctionne pour nous, dans notre vie et ce qui marche moins bien. On peut aussi faire un inventaire de ce qu’on veut vraiment dans notre vie, ce qui est important pour nous. Prioriser nos souhaits et désirs permet d’y voir plus clair dans les transformations à mettre en place. Il y a de nombreux outils accessibles et puissants pour vivre plus dans le moment présent et guérir du regard des autres.

3 outils pour aider le travail sur soi

1 . Se reconnecter

Se reconnecter à nos émotions, nos sentiments et aux différentes sensations dans notre corps est essentiel dans tout travail sur soi. On peut pratiquer des exercices de respiration de pleine conscience ou des méditations guidées en début de journée pour bien commencer la journée. Même 5 minutes suffisent ! 😊 Ou garder un petit journal de nos émotions et sentiments à la fin de journée. L’idée n’est pas de se juger, mais d’observer ce qui se passe à l’intérieur de soi. Accepter les pensées qui viennent dans notre tête, observer les sensations qui traversent notre corps, se focaliser sur le moment présent. Petit à petit, avec l’acceptation de soi, vient la notion de lâcher-prise.

3. Cultiver les pensées positives.

Notre pensée construit notre réalité, dans la mesure où toute notre expérience est subjective. En se focalisant sur les choses positives dans notre vie, on crée une énergie constructive qui nous aide à aller de devant, à trouver des solutions. En se focalisant sur le négatif, notre énergie devient destructrice. Elle nous bloque, nous paralyse. Pour cultiver la pensée positive, on peut par exemple utiliser un bocal à gratitude ou un cahier de gratitude. Chaque jour, avant de se coucher, on peut noter les choses qui nous ont rendus heureux pendant la journée. Si on a du mal, on peut commencer par noter 3-5 choses. Attention : il ne suffit pas de noter tous les jours « j’éprouve de la gratitude pour ma famille, mes enfants, pour avoir de quoi manger et un toit » Le but est de creuser un peu plus à l’intérieur de soi, d’avoir plus de clarté sur ce qui nous rend vraiment heureux.

4. Créer une liste d’objectifs concrets.

Quand notre cerveau enregistre des objectifs précis, il a la capacité de se mettre en route pour essayer de les réaliser. Par exemple dire simplement qu’on veut être heureux, avoir un meilleur boulot ou être plus riche ne veut rien dire. C’est trop abstrait. Par contre, en faisant une liste de choses concrètes et mesurables, dont nous avons besoin pour être heureux (matérielles ou pas) on peut les visualiser. Et la visualisation est la première étape pour trouver des solutions, concrétiser ce qu’on souhaite accomplir.

Ce que l’on peut retenir :

Nos pensées induisent des croyances et des émotions, parfois limitantes. Heureusement, faire un travail sur soi est possible, à tout âge. Tout comme prendre soin de soi est vital.

Nous pouvons grandir et accéder à une meilleure version de nous-mêmes à l’aide de différents outils et pratiques régulières. Cela impact grandement notre bien-être, tout autant que celui de nos proches.

Et toi, ça te dirait de te pencher sur ton bonheur, d’un peu plus près ?
Que dirais-tu d’apprendre à choisir tes pensées, à entraîner ton cerveau à voir et sentir plus positivement, à être maître de ta vie ?
Partage avec nous, tes meilleures astuces « connaissance de soi » 🙂

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